Sukarno (ou Sukarno), est né comme Kusno Sosrodihardjo (6 June 1901 – 21 June 1970). Il a été le premier président de l'Indonésie (à partir de 1945 à 1967).
Sukarno was the leader of Indonesia’s struggle for independence from the Netherlands.
Indonésiens également souviendront de lui comme Bung Karno ou Pak Karno. Comme beaucoup de vieux javanais, il n'avait qu'un seul nom. Dans des contextes religieux, he was occasionally referred to as “Achmed Sukarno”. En d'autres occasions, he referred as “Sukarno Sukarno”. The name Soekarno means “Good Karna” in Javanese.
Fond
Sukarno’s father, un aristocrate nommé Raden Soekemi Sosrodihardjoa était javanais enseignant d'école primaire. Sa mère, nommé Ida Ayu Nyoman Rai de Bali était Brahman caste de Buleleng régence. Sukarno was born at Jl. Pandean IV / 40 Surabaya, Est de Java dans les Indes orientales néerlandaises (aujourd'hui l'Indonésie). Suivant la coutume javanaise, il a été rebaptisé après avoir survécu à une maladie infantile. Après avoir été diplômé d'une école maternelle primaire 1912, il fut envoyé à l'école Europeesche Lagere (Pays-Bas-médium école secondaire de premier cycle) et Mojokerto. Quand son père l'envoya à Surabaya en 1916 à fréquenter une école Hogere Burger (Pays-Bas-support secondaire), ils ont rencontré Tjokroaminoto, un nationaliste et fondateur de l'Islam Sarekat, le propriétaire de la pension où il a vécu. In 1920, Sukarno married Tjokroaminoto’s daughter Siti Oetari. In 1921 il a commencé à étudier à la Hogeschool Technische (Institut Technique) à Bandung. Il a étudié le génie civil et l'architecture axée sur. A Bandung, Sukarno became romantically involved with Inggit Garnasih, la femme de Sanoesi, le propriétaire de la maison d'embarquement où il a vécu comme étudiant. Inggit était 13 years older than Sukarno. Sur Mars 1923, Sukarno divorced Siti Oetari to marry Inggit (qui a également divorcé de son mari Sanoesi). Et plus tard Soekarno aussi divorcés et mariés Inggit Fatmawati.
Sukarno graduated with a degree in engineering on 25 Mai 1926. En Juillet 1926, avec son ami Anwari université, il a créé le cabinet d'architectes Soekarno & Anwari à Bandung, qui a fourni des services de planification et d'entrepreneur. Among Sukarno’s architectural works are the renovated building of the Preanger Hotel (1929), où il a agi comme assistant du célèbre architecte néerlandais Charles Prosper Schoemaker Wolff. Sukarno also designed many private houses on today’s Jalan Gatot Subroto, Route Palasari, et Jalan Sudirman à Bandung. Plus tard,, en tant que président, Sukarno remained engaged in architecture, la conception du Monument Proclamation et adjacente Gedung Pola à Jakarta, le Monument des jeunes (Muda Tugu) à Semarang, Monument Alun-alun à Malang, the Heroes’ Monument in Surabaya, et aussi de la nouvelle ville de Palangkaraya dans le Kalimantan central.
Atypically, even among the colony’s small educated elite, Sukarno was fluent in several languages. In addition to the Javanese language of his childhood, he was a master of Sundanese, Balinaise et indonésienne d', et particulièrement forte en néerlandais. Il était aussi très à l'aise en allemand, Anglais, Français, Arabe, et japonais, qui ont tous été enseigné à son HBS. Il a été aidé par sa mémoire photographique et l'esprit précoce.
Dans ses études, Sukarno was “intensely modern,” both in architecture and in politics. Il méprisait à la fois la féodalité traditionnelle javanaise, which he considered as “backward” and was to blame for the fall of the country under Dutch colonialism, et l'impérialisme pratiqué par les pays occidentaux, qu'il a qualifié que l'exploitation de l'homme par d'autres êtres humains et est responsable de la grande pauvreté et un faible niveau d'éducation des populations indonésiennes sous le néerlandais. Pour promouvoir la fierté nationaliste dans les Indonésiens, Sukarno interpreted these ideas in his dress, dans sa planification urbaine de la capitale (éventuellement Jakarta), et dans ses politiques socialistes, bien qu'il n'ait pas prolonger son goût pour l'art moderne de la musique pop; il avait Koes plus emprisonnés pour leurs paroles prétendument décadentes, malgré sa réputation de séducteur. For Sukarno, la modernité était aveugle à la race, soignée et de style occidental, et anti-impérialiste.
Lutte pour l'indépendance
Sukarno was first exposed to nationalist ideas while living under Tjokroaminoto. Plus tard, alors qu'il était étudiant à Bandung, il se plonge dans l'Ouest, communiste, et la philosophie politique islamique, éventuellement développer sa propre idéologie politique du style indonésien autosuffisance socialiste. Il commence coiffer ses idées comme Marhaenism, nommé d'après Marhaen, un paysan indonésien, il a rencontré dans le sud de Bandung zone, qui était propriétaire de son lopin de terre et a travaillé sur lui-même, produire un revenu suffisant pour faire vivre sa famille. À l'université,, Sukarno began organising study club for Indonesian students, l'Studieclub Algemeene, en opposition avec les clubs d'étudiants établis dominés par des étudiants néerlandais.
Sur 4 Juillet 1927, Sukarno with his friends from the Algemeene Studieclub established a pro-independence party, Partai Nasional Indonesia (PNI), upon which Sukarno was elected as the first leader. Le parti indépendantiste plaidé en faveur de l'Indonésie, et s'oppose à l'impérialisme et le capitalisme, car il était d'avis que les deux systèmes ont aggravé la vie de peuple indonésien. Le parti a également préconisé la laïcité et l'unité entre les nombreuses ethnies différentes dans les Indes orientales néerlandaises, d'établir une Indonésie unie. Sukarno also hoped that Japan would commence a war against the western powers and that Java could then gain its independence with Japan’s aid. Bientôt après la désintégration de l'islam dans Sarekat début des années 1920 et l'écrasement de Partai Komunis Indonésie après leur rébellion manquée de 1926, PNI a commencé à attirer un grand nombre d'adeptes, en particulier parmi les nouveaux diplômés universitaires des jeunes avides de grandes libertés et possibilités de les refuser dans le système raciste et constrictive politique de colonialisme néerlandais.
Activités PNI est venu sous l'attention du gouvernement colonial, and Sukarno’s speeches and meetings was often infiltrated and disrupted by agents of the colonial secret police (Politieke Inlichtingen service / PID). Finalement, Sukarno and other key PNI leaders were arrested on 29 Décembre 1929 par les autorités coloniales hollandaises dans une série de raids à travers Java. Sukarno himself was arrested while on a visit to Yogyakarta. Sur son procès au palais de justice de Bandung Landraad Août to Décembre 1930, Sukarno made a series of long political speech attacking the injustices of colonialism and imperialism, intitulé Indonésie Menggoegat (Indonésie accuse).
Sur Décembre 1930, Sukarno was sentenced to four years in prison, qui a été purgée en prison Sukamiskin à Bandung. Son discours impressionnant, cependant, a reçu une large couverture par la presse, et en raison de la forte pression des éléments libéraux à la fois aux Pays-Bas et des Indes néerlandaises, Sukarno was released early on 31 Décembre 1931. A cette époque,, il était devenu un héros populaire bien connu dans toute l'Indonésie.
Cependant, lors de son emprisonnement, PNI avait été scindé par l'oppression des autorités coloniales et des dissensions internes. Le PNI originale a été dissoute par le Néerlandais, et ses anciens membres formé deux partis différents; l'Indonésie Partai (Départ) under Sukarno’s associate Sartono who were promoting mass agitation, et le Pendidikan Nasional Indonesia (PNI Baroe) au cours de Mohammad Hatta et Soetan Sjahrir, deux nationalistes qui sont récemment revenus à partir d'études aux Pays-Bas qui faisaient la promotion stratégie à long terme de la distribution de l'éducation moderne au peuple inculte indonésienne de développer une élite intellectuelle capable d'offrir une résistance efficace à la domination hollandaise. Après avoir tenté de concilier les deux parties à établir un front uni nationaliste, Sukarno chose to become the head of Partindo on 28 Juillet 1932. Partindo has maintained its alignment with Sukarno’s own strategy of immediate mass agitation, and Sukarno disagreed with Hatta’s long-term cadre-based struggle. Hatta se croyait indépendance de l'Indonésie ne se produira pas de son vivant, while Sukarno believed Hatta’s strategy to be ignorant of the fact that politics can only make real changes through formation and utilisation of force (machtsvorming s machtsaanwending).
Pendant cette période,, pour subvenir à ses besoins et le parti financièrement, Sukarno re-entered architecture, l'ouverture du bureau de Soekarno & Rooseno. Il a également écrit des articles pour le journal du parti, Attention Ra'jat. En se basant à Bandung, Sukarno travelled extensively throughout Java to establish contacts with other nationalists. Ses activités encore attiré l'attention par le PID néerlandais. Le mi-1933, Sukarno published a series of writings titled Mentjapai Indonesia Merdeka (“To Attain Independent Indonesia”). Pour cette écriture, il a été arrêté par la police néerlandaise en visitant compatriote nationaliste Mohammad Hoesni Thamrin à Jakarta 1 Août 1933.
Ce temps, to prevent providing Sukarno with platform to make political speeches, the hardline governor-general jonkheer Bonifacius Cornelis de Jonge utilised his emergency powers to send Sukarno to internal exile without trial. En 1934, Sukarno was shipped, avec sa famille (y compris Inggit Garnasih), à la ville reculée de Fin, sur l'île de Flores. Pendant son séjour à Flores, il a utilisé sa liberté de mouvement limitée pour établir un théâtre pour enfants, parmi ses membres était le futur politicien Frans Seda. En raison d'une éclosion de paludisme à Flores, the Dutch authorities decided to move Sukarno and his family to Bencoolen (maintenant Bengkulu) sur la côte ouest de Sumatra, sur Février 1938.
En Bengkulu, Sukarno became acquainted with Hassan Din, le chef local de la Muhammadiyah organisation, et il a été autorisé à enseigner la religion islamique dans une école locale appartenant à la Muhammadiyah. Un de ses étudiants était de 15 ans Fatmawati, fille de Hassan Din. Il est devenu une relation amoureuse avec Fatmawati, qu'il a justifié en déclarant l'incapacité de Inggit Garnasih de produire des enfants durant leur presque 20 ans de mariage. Sukarno was still in Bengkulu exile when the Japanese invaded the archipelago in 1942.
Seconde Guerre mondiale et l'occupation japonaise
In early 1929, au cours de la renaissance nationale indonésienne, Sukarno and fellow Indonesian nationalist leader Mohammad Hatta (vice-président plus tard), first foresaw a Pacific War and the opportunity that a Japanese advance on Indonesia might present for the Indonesian independence cause.[8] En Février 1942 Japon impérial a envahi les Indes néerlandaises rapidement vaincre les forces néerlandaises qui ont défilé, bussed and trucked Sukarno and his entourage three hundred kilometres from Bengkulu to Padang, Sumatra. Ils avaient l'intention garder le prisonnier et l'expédition à l'Australie, mais brusquement abandonné pour se sauver à l'approche imminente des forces japonaises sur Padang.
The Japanese had their own files on Sukarno and the Japanese commander in Sumatera approached him with respect, vouloir l'utiliser pour organiser et pacifier les Indonésiens. Sukarno on the other hand wanted to use the Japanese to free Indonesia: “The Lord be praised, Dieu m'a montré la voie; dans cette vallée de la Ngarai je l'ai dit: Oui, Independent Indonesia can only be achieved with Dai Nippon…For the first time in all my life, I saw myself in the mirror of Asia.”[10] On July 1942, Sukarno was sent back to Jakarta, où il a réunifié avec d'autres leaders nationalistes récemment publié par les Japonais, y compris Mohammad Hatta. Là, il a rencontré le commandant japonais Hitoshi Imamura général, who asked Sukarno and other nationalists to galvanise support from Indonesian populace to aid Japanese war effort.
Sukarno was willing to support the Japanese, en échange d'une plate-forme pour lui-même à répandre des idées nationalistes de la population de masse. Les Japonais, en revanche, la main-d'œuvre nécessaire de l'Indonésie et des ressources naturelles pour aider à l'effort de guerre. Les millions de personnes recrutées japonais, en particulier à partir de Java, to be forced labor called “romusha” in Japanese. Ils ont été forcés de construire des chemins de fer, aérodromes, et d'autres installations pour les Japonais au sein de l'Indonésie et d'aussi loin que la Birmanie. En outre, le riz japonais requestioned et d'autres aliments produits par des paysans indonésiens pour approvisionner leurs propres troupes, tout en forçant les paysans à cultiver des plantes de ricin à être utilisé comme carburant d'aviation et les lubrifiants.
D'obtenir la coopération de la population indonésienne et à prévenir la résistance à ces mesures draconiennes, the Japanese put Sukarno as head of Tiga-A mass organisation movement. Sur Mars 1943, les Japonais formé une nouvelle organisation appelée Poesat Tenaga Rakjat (POETERA / Concentration du pouvoir populaire) under Sukarno, Même, Ki Hadjar Dewantara, et KH Mas Mansjoer. L'objectif de ces organisations étaient à mobiliser le soutien populaire pour le recrutement de main-d'œuvre forcée romusha, la réquisition des produits alimentaires, et de promouvoir des sentiments pro-japonais et anti-occidentaux parmi les Indonésiens. Sukarno coined the term, Unis nous embarquons à bord, Unis, nous crowbar (“Let’s iron America, and bludgeon the British”) à promouvoir la lutte contre alliées sentiments. Des années plus tard, Sukarno was lastingly ashamed of his role with the romusha. En outre, alimentaire réquisition par la famine généralisée causée japonais en Java qui a tué plus d'un million de personnes dans 1944-1945. À son avis, ce sont des sacrifices nécessaires pour être prises pour permettre à l'indépendance future de l'Indonésie. Il a également été impliqué dans la formation de Pembela Tanah Air (PETA) et Heiho (Indonésiens bénévoles troupes de l'armée) par l'intermédiaire des discours diffusés à la radio japonaise et des réseaux haut-parleur à travers Java et Sumatra. À la mi-1945, ces unités numérotées environ deux millions, et se préparaient à vaincre les forces alliées envoyées pour reprendre Java.
Dans l'intervalle, Sukarno eventually divorced Inggit, qui refusaient d'accepter le désir de son mari pour polygamie. Elle a été pourvue d'une maison à Bandung et une pension pour le reste de sa vie. En 1943, il épousa Fatmawati. Ils vivaient dans une maison Jl. Aucune Pegangsaan-Orient. 56, confiscated from its previous Dutch owners and presented to Sukarno by the Japanese. Cette maison sera plus tard le lieu de la proclamation de l'indépendance indonésienne 1945.
On 10 Novembre 1943 Sukarno and Hatta was sent for seventeen-day touSurof Japan, où ils ont été décorés par le empereur Hirohito et a bu du vin et dîner dans la maison du Premier ministre Hideki Tojo à Tokyo. On 7 Septembre 1944, avec la guerre va mal pour les Japonais, Le Premier ministre Kuniaki Koiso promis l'indépendance de l'Indonésie, même si aucune date n'a été fixée. Cette annonce a été vu, selon la AMÉRICANO. histoire officielle, as immense vindication for Sukarno’s apparent collaboration with the Japanese. Le AMÉRICANO. at the time considered Sukarno one of the “foremost collaborationist leaders.”
On 29 Avril 1945, avec la chute des Philippines auprès mains des Américains, les Japonais a permis la mise en place de Badan Penjelidik Oesaha-oesaha Indonésie Persiapan Kemerdekaan (BPUPKI), une assemblée législative composée de quasi- 67 représentants de la plupart des groupes ethniques-en Indonésie. Sukarno was appointed as head of BPUPKI and was tasked to lead dSurcussion to prepare the basis of a future Indonesian state. Pour fournir une plate-forme commune et acceptable pour unir les factions qui se chamaillent dans divers BPUPKI, Sukarno formulated his ideological thinking developed for the past twenty years into five principles. On 1 Juin 1945, il a présenté ces cinq principes, connue sous le nom Pancasila, lors de la session conjointe du BPUPKI lieu dans le bâtiment ancien Volksraad (maintenant appelé Gedung Pancasila).
Pancasila as presented by Sukarno during the BPUPKI speech, consisted of five common principles which Sukarno saw as commonly shared by all Indonesians:
Nationalisme, par lequel un Etat uni indonésien s'étendrait de Sabang à Merauke, englobant tous les anciens Indes néerlandaises
Internationalisme, sens Indonésie est d'apprécier droits de l'homme et de contribuer à la paix mondiale, et ne doit pas tomber dans le fascisme chauvin comme affiché par les nazis à leur croyance en la supériorité raciale des Aryens
Démocratie, which Sukarno believed has always been in the blood of Indonesians through the practice of consensus-seeking (délibération et consensus), une démocratie de style indonésien différente de l'occidentale libéralisme
La justice sociale, une forme de socialisme populiste en économie marxiste-opposition au capitalisme de style libre. La justice sociale a également pour but de fournir à parts égales de l'économie à tous les Indonésiens, par opposition à la domination économique complet par les Hollandais et les Chinois pendant la période coloniale
La croyance en Dieu, où toutes les religions sont traités de manière égale et avoir la liberté religieuse. Sukarno saw Indonesians as spiritual and religious people, mais en essence tolérante à l'égard des convictions religieuses différentes
Sur 22 Juin, les éléments islamiques et nationalistes de BPUPKI créé un petit comité de neuf, which formulated Sukarno’s ideas into the five-point Pancasila, dans un document connu sous le nom la Charte de Jakarta:
La croyance en un seul Dieu, avec l'obligation pour les musulmans d'observer la loi islamique
L'humanité civilisée et juste
Unité de l'Indonésie
La démocratie par le représentant de consensus
La justice sociale pour tous les Indonésiens
En raison de la pression de l'élément islamique, le premier principe mentionné l'obligation pour les musulmans de pratiquer la loi islamique (loi islamique). Cependant, Sila finale tel qu'il figure dans le 1945 Constitution qui a été mis en vigueur le 18 Août 1945, exclus de la référence à la loi islamique pour l'amour de l'unité nationale. L'élimination de la charia a été fait par Mohammad Hatta base à la demande de Christian représentant Alexander Maramis Andries, et après consultation avec les représentants Teuku islamique modéré Hassan Mohammad, Kasman Singodimedjo, and Ki Bagoes Hadikoesoemo.[16]
On 7 August 1945, les Japonais ont permis la formation d'un petit Panitia Penjelidik Kemerdekaan Indonésie (PPKI), un comité de 21 personnes chargé de créer la structure gouvernementale spécifique du futur ÉtaSurindonésien. On 9 August, les principaux dirigeants de PPKI (Sukarno, Même, et KRH Radjiman Wediodiningrat), ont été convoqués par le commandant en chef de Sud du Japon Forces expéditionnaires, Le feld-maréchal Hisaichi Terauchi, à Da Lat, 100 km de Saigon. Field Marshal Terauchi gave Sukarno the freedom to proceed with preparation for Indonesian independence, libre de toute ingérence japonais. Après beaucoup boire et manger, Sukarno’s entourage was flown back to Jakarta on 14 August. À l'insu des visiteurs, bombes atomiques ont été larguées sur Hiroshima et Nagasaki, et les Japonais se préparaient pour la remise.
Le jour suivant,, sur 15 Août, les Japonais ont déclaré leur acceptation des termes de la Déclaration de Potsdam, et inconditionnellement rendu aux Alliés. L'après-midi de ce jour-là, Sukarno received this information from leaders of youth groups and members of PETA Chairul Saleh, Soekarni, et Wikana, qui avait été à l'écoute des émissions de radio occidentales. They urged Sukarno to declare Indonesian independence immediately, tandis que les Japonais étaient dans la confusion et avant l'arrivée des forces alliées. Face à la tournure rapide des événements, Sukarno procrastinated. Il craignait bain de sang en raison de la réponse hostile de la part des Japonais à une telle initiative, et portait sur les perspectives d'Allied rétribution future.
Au petit matin, 16 Août, les trois leaders de la jeunesse, impatient with Sukarno’s indecision, l'ont enlevé de sa maison et l'a amené à une petite maison dans Rengasdengklok, Falkirk, détenue par une famille chinoise et occupé par PETA . There they gained Sukarno’s commitment to declare independence within the next day. Cette nuit-là, the youths drove Sukarno back to the house of Admiral Tadashi Maeda, l'officier de liaison de la marine japonaise dans Menteng domaine de Jakarta, qui sympathisaient avec l'indépendance indonésienne. Là, lui et son assistant Sajoeti Melik texte préparé de la proclamation de l'indépendance indonésienne.
Chef de guerre
Le matin du 17 Août 1945, Sukarno returned to his house at Jl Pegangsaan Timur No. 56, où il a été rejoint par Mohammad Hatta. Pendant toute la matinée, tracts imprimés improvisés par PETA et les éléments jeunes de la population informée de la proclamation imminente. Enfin, sur 10 à l', Sukarno and Hatta stepped to the front porch, where Sukarno declared the independence of the Republic of Indonesia in front of a crowd of 500 personnes.
Le jour suivant,, 18 Août, PPKI déclaré la structure de base du gouvernement de la nouvelle République d'Indonésie:
Appointing Sukarno and Mohammad Hatta as President and Vice-President and their cabinet.
Mettre en œuvre le 1945 Indonésienne constitution, qui à cette époque excluait toute référence à la loi islamique.
Définition d'une centrale Comité National Indonésien (Comité Nasional Indonesia Poesat / KNIP) pour aider le président avant l'élection d'un parlement.
Sukarno’s vision for the 1945 Indonésienne constitution comprend le Pancasila (cinq principes). Sukarno’s political philosophy was mainly a fuse of elements of Marxism, le nationalisme et l'islam. Cela se traduit par une proposition de sa version de Pancasila il a proposé à la BPUPKI (Inspection des efforts indonésiens Préparation Indépendance), dans lequel il a initialement embrassé dans un discours sur 1 Juin 1945:[16]
Sukarno argued that all of the principles of the nation could be summarized in the phrase gotong royong.[17] Le Parlement indonésien, fondé sur la base de cette origine (, puis révisé) constitution, prouvé tous, mais ingouvernable. Cela était dû à des différences irréconciliables entre les différents acteurs sociaux, politique, religious and ethnic factions.[18]
Dans les jours qui suivent la proclamation, les nouvelles de l'indépendance indonésienne a été diffusée par la radio, journal, brochures, et le bouche à oreille, malgré les tentatives des soldats japonais pour supprimer les nouvelles. Sur 19 Septembre, Sukarno addressed a crowd of one million people at the Ikada Field of Jakarta (maintenant partie de Merdeka Square) pour commémorer le mois de l'indépendance, indiquant le niveau élevé du soutien populaire pour la nouvelle république, au moins sur Java et Sumatra. Dans ces deux îles, the Sukarno government quickly established governmental control while the remaining Japanese mostly retreated to their barracks awaiting arrival of Allied forces. Cette période a été marquée par des attaques constantes de la part des groupes armés sur les Européens, Chinese, Chrétiens, aristocratie indigène et tous ceux qui étaient perçus à s'opposer à l'indépendance indonésienne. Les cas les plus graves ont été les révolutions sociales à Aceh et du Nord Sumatra, où un grand nombre d'aristocrates d'Aceh et malais ont été tués par des groupes islamiques (à Aceh) et communiste dirigées par des foules (dans le Nord de Sumatra), and the “Three Regions Affair” in northwestern coast of Central Java where large numbers of Europeans, Chinese, et aristocrates indigènes ont été massacrés par la foule. Ces incidents sanglants ont continué jusqu'à la fin 1945 au début 1946, et de commencer à peter-comme autorité républicaine commencent à exercer et de consolider son contrôle.
Sukarno’s government initially postponed the formation of a national army, de peur de contrarier les forces d'occupation alliées et leur doute quant à savoir si elles auraient pu former un appareil militaire adéquate pour garder le contrôle du territoire occupé. Les membres de diverses milices formées pendant l'occupation japonaise, comme la dissolution de PETA et Heiho, à cette époque ont été encouragés à se joindre au BKR-Badan Keamanan Rakjat (Organisation de la sécurité populaire)—itself a subordinate of the “War Victims Assistance Organization”. Ce n'est qu'en Octobre 1945 que le BKR a été réformé dans le Rakjat TKR-Tentara Keamanan (Populaire Armée de sécurité) en réponse à la présence croissante des Alliés et néerlandais en Indonésie. Le TKR se sont armés pour la plupart en attaquant les troupes japonaises et confisquer leurs armes.
Grâce à un transfert soudain de Java et de Sumatra de la Zone du général Douglas MacArthur dominé par les Américains Pacifique Sud-Ouest à Lord Louis Mountbatten la Colombie-dominé commande Asie du Sud-, les premiers soldats alliés (1er bataillon du régiment Seaforth Highlanders) ne sont arrivés à Jakarta fin Septembre 1945. Les forces britanniques ont commencé à occuper les grandes villes indonésiennes Octobre 1945. Le commandant de la 23e division britannique, Le lieutenant-général Sir Philip Christison, mise en place de commandes dans l'ancien palais du gouverneur général à Jakarta. Christison a déclaré ses intentions en la libération de tous les prisonniers alliés de guerre, et de permettre le retour de l'Indonésie à son état d'avant-guerre, comme colonie des Pays-Bas. Le gouvernement républicain étaient prêts à coopérer en ce qui concerne la libération et le rapatriement des prisonniers de guerre alliés civils et militaires, mise en place du Comité pour le rapatriement des prisonniers japonais et alliés de guerres et Internés (Comité de Direction Pengangkoetan Oeroesan Djepang et APWI / POPDA) à cet effet,. POPDA, en coopération avec le British, plus de rapatriés 70,000 Prisonniers de guerre japonais et alliés et les internés ici la fin de 1946. Pour résister aux tentatives néerlandaises pour reprendre le contrôle du pays, Sukarno’s strategy was to seek international recognition and support for the new Indonesian Republic, compte tenu de la relative faiblesse militaire de la République par rapport à la puissance militaire britannique et néerlandais.
Sukarno was aware that his past history as Japanese collaborator might complicate relationship with the Western countries. D'où, pour aider à acquérir une reconnaissance internationale ainsi que pour accueillir la demande intérieure de création des partis politiques, Sukarno allowed the formation of parliamentary system of government, par laquelle un Premier ministre contrôlées au jour le jour des affaires du gouvernement, while Sukarno as president remained as figurehead. Le premier ministre et son cabinet sera responsable devant le Comité central national indonésien au lieu du président. Sur 14 Novembre 1945, Sukarno appointed Sutan Sjahrir as first prime minister, il était un homme politique européen instruit qui n'a jamais été impliqué avec les autorités d'occupation japonaises.
Sinistrement, Soldats néerlandais et les administrateurs sous le nom de Pays-Bas Antilles Administration civile (NICA) ont commencé à rentrer sous la protection des Britanniques. Ils étaient dirigés par Hubertus Johannes van Mook, d'avant-guerre coloniale néerlandaise administrateur qui a dirigé les Indes néerlandaises par le gouvernement en exil à Brisbane, Australie. Ils armé libérés les prisonniers de guerre néerlandais, qui a commencé à s'engager dans des saccages de tir contre des civils et des policiers indonésiens républicains. Comme conséquence, conflit armé a éclaté bientôt entre les forces nouvellement constitués républicains aidés par une myriade de groupes foule pro-indépendance, contre les forces britanniques et néerlandais. Sur 10 Novembre, une bataille à grande échelle a éclaté Départ à Surabaya entre British Indian Brigade d'infanterie 49e et population indonésienne, impliquant l'air et de bombardements navals de la ville par les Anglais. 300 Soldats britanniques ont été tués (y compris son commandant de brigade Mallaby AWS), tandis que des milliers d'Indonésiens sont morts. Fusillades cassé-avec une régularité alarmante à Jakarta, y compris une tentative d'assassinat du Premier ministre néerlandais Sjahrir par des hommes armés. Pour éviter cette menace, Sukarno and majority of his government left for the safety of Yogyakarta on 4 Janvier 1946. Là, le gouvernement républicain a reçu la protection et le plein soutien du Sultan Hamengkubuwono IX. Yogyakarta restera comme capitale de la République jusqu'à la fin de la guerre en 1949. Sjahrir remained in Jakarta to conduct negotiations with the British.[19]
La première série de batailles à la fin de 1945 et au début 1946 laissé les Britanniques dans le contrôle de grandes villes portuaires de Java et Sumatra. Pendant l'occupation japonaise, les îles périphériques (Java et Sumatra exclusion) fut occupée par les Japonais Marine (Kaige), qui n'a pas permis de mobilisation politique dans leurs domaines en raison de la faible population de base disponibles pour la mobilisation, et la proximité de ces zones dans les théâtres de guerre actifs. Donc, il y avait peu d'activité républicain dans ces îles après la proclamation. Les forces australiennes et néerlandaises rapidement occupé ces îles sans beaucoup de combats à la fin de 1945 (l'exclusion de la résistance de I Gusti Ngurah Rai à Bali, l'insurrection dans le sud de Sulawesi, et les combats dans Hulu Sungai domaine de Kalimantan du Sud). En attendant, les régions de l'intérieur de Java et de Sumatra est restée sous administration républicaine.
Désireux de pull-out ses soldats de l'Indonésie, les Britanniques autorisé à grande échelle perfusion des forces néerlandaises dans le pays tout au long de 1946. En Novembre 1946, tous les soldats britanniques ont été retirés de l'Indonésie, remplacés par plus de 150,000 Soldats néerlandais. En revanche, le britannique envoya lord Archibald Clark Kerr, 1er baron Inverchapel et Miles Lampson, 1er baron Killearn d'apporter les Hollandais et Indonésiens à la table des négociations. Le résultat de ces négociations a été l'accord signé le Linggadjati Novembre 1946, où les Hollandais ont reconnu la souveraineté de facto républicain sur Java, Sumatra, et Madura. En échange, les républicains étaient prêts à discuter de l'avenir du Commonwealth, comme Royaume-Uni des Pays-Bas et l'Indonésie.
Sukarno’s decision to negotiate with the Dutch was met with strong opposition by various Indonesian factions. Tan Malacca, un politicien communiste, organisés ces groupes dans un front uni qui s'appelle le Perdjoangan Persatoean (PP). PP offered a “Minimum Program” which called for complete independence, la nationalisation de tous les biens étrangers, et le rejet de toutes les négociations jusqu'à ce que toutes les troupes étrangères sont retirées. Ces programmes ont reçu un large soutien populaire, y compris les forces armées de commandant général Sudirman. Sur 4 Juillet 1946, unités militaires liées à la PP enlevé Sjahrir Premier ministre qui était en visite Yogyakarta. Sjahrir menait les négociations avec les Hollandais. Sukarno, après avoir réussi à influencer Sudirman, réussi à obtenir la libération de Sjahrir et l'arrestation de Tan Malaka et d'autres dirigeants du PP. Disapproval of Linggadjati terms within the KNIP led Sukarno to issue a decree doubling KNIP membership by including many pro-agreement appointed members. Comme conséquence, KNIP ratifié l'Accord Linggadjati sur Mars 1947.[20]
Sur 21 Juillet 1947, l'Accord Linggadjati a été brisée par les Hollandais, qui a lancé le produit Operatie, une invasion militaire massive dans les territoires tenus par les Républicains. Bien que le TNI nouvellement reconstituée était incapable d'offrir une résistance significative militaire, la violation flagrante par les Hollandais sur l'opinion accord mondial négocié à l'échelle internationale outrée. La pression internationale a forcé le néerlandais pour arrêter leur force d'invasion sur Août 1947. Sjahrir, qui a été remplacé au poste de Premier ministre par Amir Sjarifuddin, s'est rendu à New York pour en appeler de cas indonésienne en face des Nations Unies. Le Conseil de sécurité a adopté une résolution appelant à le-feu immédiat, et a nommé un Comité de bons offices (GC) pour superviser le cessez-le-. Le gouvernement du Canada, basée à Jakarta, composé de délégations de l'Australie (dirigée par Richard Kirby, choisie par l'Indonésie), Belgique (dirigé par Paul van Zeeland, choisi par Pays-Bas), et États-Unis (dirigé par Frank Porter Graham, neutre).
La République était désormais sous forte mainmise militaire néerlandais, avec les militaires néerlandais qui occupe l'ouest de Java, et la côte nord de Java-Centre et Java Est, ainsi que les principaux domaines de production de Sumatra. En outre, la marine hollandaise bloqué zones républicaines de réserves de nourriture vitale, médecine, et les armes. Comme conséquence, Le Premier ministre Amir Sjarifuddin n'a guère le choix que de signer l'Accord du Renville sur 17 Janvier 1948, qui a reconnu contrôle néerlandais sur les zones prises pendant produit Operatie, tandis que les républicains se sont engagés à retirer toutes les forces qui sont restés de l'autre côté de la ligne de cessez-le- (“Van Mook Line”). En attendant, les Hollandais commencent à organiser des états fantoches dans les zones sous leur occupation, pour contrer l'influence républicaine utilisation de la diversité ethnique de l'Indonésie.
La signature de l'accord Renville très pénalisant provoqué une instabilité encore plus grande au sein de la structure politique républicain. En néerlandais occupé par l'ouest de Java, Darul Islam sous la guérilla Sekarmadji Maridjan Kartosuwirjo maintenu leur contre-néerlandais résistance et a abrogé toute fidélité à la République, ils vont provoquer une insurrection sanglante dans l'ouest de Java et d'autres secteurs dans les premières décennies de l'indépendance. Le Premier ministre Sjarifuddin, qui a signé l'accord, a été contraint de démissionner le Janvier 1948, et a été remplacé par Mohammad Hatta. Hatta armoire politique de rationalisation des forces armées par un grand nombre de démobilisation des groupes armés qui ont proliféré les zones républicaines, également causé une désaffection grave. Éléments politiques de gauche, dirigé par la résurgence Parti communiste indonésien (ICP) sous Musso a profité de disaffections publics par la rébellion lance dans Madiun, Java-Est, sur 18 Septembre 1948. Combats sanglants poursuivie au cours de la fin-Septembre jusqu'à la fin Octobre 1948, lorsque les dernières bandes communistes furent vaincus et Musso abattu. The communists have overestimated their potential to oppose the strong appeal of Sukarno amongst the population.
Sur 19 Décembre 1948, pour tirer parti de la position de faiblesse de la République à la suite de la rébellion communiste, le néerlandais a lancé Operatie Kraai, une seconde invasion militaire destinée à écraser la République une fois pour toutes. L'invasion a été lancé avec un assaut aéroporté sur le capital républicain Yogyakarta. Sukarno ordered the armed forces under Sudirman to launch guerilla campaign in the countryside, tandis que lui et d'autres dirigeants clés tels que Hatta et Sjahrir se sont laissé capturé par les Hollandais. Pour assurer la continuité du gouvernement, Sukarno sent a telegram to Sjafruddin Prawiranegara, lui fournissant le mandat de diriger un gouvernement d'urgence de la République d'Indonésie (PDRI), basée sur l'arrière-pays de l'Ouest de Sumatra inoccupées, a position he kept until Sukarno was released on June 1949. The Dutch sent Sukarno and other captured Republican leaders to captivity in Prapat, en néerlandais occupé par une partie du Nord de Sumatra et plus tard sur l'île de Bangka.
La deuxième invasion hollandaise a provoqué l'indignation encore plus international. États-Unis, impressionnés par la capacité de l'Indonésie à l'encontre de l' 1948 défi communiste sans aide extérieure, menacé de coupure fonds d'aide Marshall au Pays-Bas, si les opérations militaires en Indonésie a continué. TNI ne se désintègrent pas et continua à mener la résistance de guérilla contre les Pays-Bas, notamment l'attaque contre néerlandais détenus par Yogyakarta, dirigée par le lieutenant-colonel Suharto sur 1 Mars 1949. Donc, les Pays-Bas ont été contraints de signer l'accord Roem van-Roijen sur 7 Mai 1949. Selon ce traité, les Pays-Bas a publié les dirigeants républicains et retourné dans les environs de Yogyakarta au républicain contrôle sur Juin 1949. Elle est suivie par la Conférence hollandais indonésienne table ronde qui s'est tenue à La Haye, qui a conduit au transfert complet de souveraineté de la Reine Juliana des Pays-Bas à l'Indonésie, sur 27 Décembre 1949. Ce jour-là, Sukarno flew from Yogyakarta to Jakarta, faire un discours triomphant sur les marches du palais du gouverneur général, immédiatement rebaptisé Palais Merdeka (“Independence Palace”).
Figure de président
En ce moment, dans le cadre d'un compromis avec les Pays-Bas, L'Indonésie a adopté une nouvelle constitution fédérale qui fait de ce pays un État fédéral appelé la Republik Indonesia Serikat (République des Etats-Unis d'Indonésie), consisting of the Republic of Indonesia whose borders were determined by the “Van Mook Line”, avec 6 États et 9 territoires autonomes créées par les Hollandais. Au cours de la première moitié de 1950, ces Etats s'est progressivement dissous l'armée néerlandaise qui, auparavant, les étayé, a été retirée. Sur Août 1950, with the last state – State of East Indonesia – dissolving itself, Sukarno declared a Unitary Republic of Indonesia based on newly-formulated provisional constitution of 1950. Tant la Constitution fédérale de 1949 et la Constitution provisoire de 1950 étaient parlementaire dans la nature, où le pouvoir exécutif posé avec le Premier ministre, et qui, sur le papier limité le pouvoir présidentiel. Cependant, même avec son rôle formellement réduite, il a commandé une bonne partie de l'autorité morale en tant que Père de la Nation.
Les premières années de la démocratie parlementaire s'est avéré très instable pour l'Indonésie. Armoires tombé dans une succession rapide en raison des différences aiguës entre les différents partis politiques au sein du parlement nouvellement nommé (House of Representatives / DPR troupes). Il y avait de sérieux désaccords sur le chemin de l'avenir de l'État indonésien, entre nationalistes qui voulaient un Etat laïc (led by Partai Nasional Indonesia first established by Sukarno), les islamistes qui voulaient un Etat islamique (dirigé par le Parti Masyumi), et les communistes qui voulaient un Etat communiste (dirigé par ICP, seulement autorisés à opérer à nouveau en 1951). Sur le plan économique, il y avait mécontentement sévère avec la domination économique continue par les grandes sociétés néerlandaises et l'd'origine chinoise.
Dans les régions, the Darul Islam rebels under Kartosuwirjo in West Java refused to acknowledge Sukarno’s authority and declared a NII (Negara Islam Indonesia – Islamic State of Indonesia) le Août 1949. Rébellions à l'appui de Darul Islam a aussi battu Départ dans le sud de Sulawesi en 1951, et à Aceh en 1953. En attendant, pro-fédéralisme membres de la KNJL dissous lancé la rébellion a échoué à Bandung (APRA rébellion de 1950), En Makassar en 1950, et à Ambon (République des Moluques du Sud révolte de 1950).[21]
En outre, l'armée a été déchirée par les hostilités entre les officiers issus de l'époque coloniale KNJL, qui voulait une petite armée et l'élite professionnelle, et l'écrasante majorité des soldats qui ont commencé leur carrière dans la PETA japonais formé, qui avaient peur d'être rejeté et ont été plus connu pour le zèle nationaliste sur le professionnalisme.
Sur 17 Octobre 1952, les dirigeants de la faction ex-KNJL, Chef de l'armée le colonel Abdul Haris Nasution et des Forces armées chef d'état-major Major-général Tahi Bonar Simatupang mobilisé leurs troupes dans une démonstration de force. Protester contre les tentatives de la RMR de s'ingérer dans les affaires militaires au nom de l'ancienne faction-PETA de l'armée, Nasution et Simatupang avaient leurs troupes entourent le palais Merdeka et pointer les tourelles de char dans la direction dudit bâtiment. Their demand to Sukarno was that the current DPR be dismissed. Pour cette cause, Nasution et Simatupang également mobilisé des manifestants civils. Sukarno came out of the palace and using nothing but his famed oratory skills, convaincu les soldats et les civils de rentrer chez eux. Nasution et Simatupang avait été vaincu, et tous deux ont été rejetées par. Nasution, cependant, would be re-appointed as Army Chief after reconciling with Sukarno in 1955.
En 1954, Sukarno married Hartini, une veuve de 30 ans à partir de Salatiga, qu'il a rencontré lors d'une réception. Sa troisième épouse, Fatmawati a été outrés par cette quatrième mariage. She left Sukarno and their children, bien qu'ils n'aient jamais officiellement divorcé. Fatmawati ne prend plus en place les fonctions de première dame, un rôle par la suite rempli par Hartini.
La 1955 élections a produit un nouveau Parlement et d'une Assemblée constitutionnelle. Les résultats des élections de puissance à parts égales entre les forces antagonistes de la PNI, Masyumi, NU, et PKI. D'où, d'instabilité politique intérieure a continué sans relâche. Les discussions dans le Assemby constitutionnelle pour produire une nouvelle constitution a rencontré une impasse sur la question de savoir s'il faut inclure la loi islamique.
Sur le plan international, Sukarno organised the Bandung Conference in 1955, dans le but d'unir les pays en développement d'Asie et d'Afrique dans un mouvement non-aligné pour contrer contre les superpuissances rivales au moment.
Sukarno resented his figurehead position and the increasing disorder of the country’s political life. Revendication de démocratie de style occidental ne convenait pas pour l'Indonésie, he called for a system of “guided democracy.” The Indonesian way of deciding important questions, il a fait valoir, était par voie de délibération prolongée conçue pour parvenir à un consensus. Il s'agissait de la façon dont les problèmes ont été résolus au niveau du village, and Sukarno argued it should be the model for the entire nation. He proposed a government based not only on political parties but on “functional groups” composed of the nation’s basic elements, qui forment ensemble un Conseil national, à travers lequel un consensus national pourrait s'exprimer sous la direction du Président.
Vice-President Mohammad Hatta was strongly opposed to Sukarno’s guided democracy concept. Citant des différences irréconciliables, Hatta a démissionné de son poste en Décembre 1956. Retraite Hatta a envoyé une onde de choc à travers l'Indonésie, en particulier parmi les groupes ethniques non-javanais, ayant consulté Hatta comme leur représentant dans un gouvernement dominé par les Javanais.
De Décembre 1956 Janvier à 1957, commandants militaires régionaux dans le Nord de Sumatra, Central Sumatra, provinces du Sud et de Sumatra a pris le contrôle des collectivités locales. Ils ont déclaré une série de conseils militaires qui se déroulera leurs domaines respectifs et ont refusé d'accepter des commandes en provenance de Jakarta. Un mouvement similaire militaire régional a pris le contrôle du nord de Sulawesi sur Mars 1957. Ils ont exigé l'élimination de l'influence communiste dans le gouvernement, part égale des revenus du gouvernement, and reinstatement of Sukarno-Hatta duumvirate.
Face à ce défi grave à l'unité de la République, Sukarno declared martial law (État de guerre et de siège) sur 14 Mars 1957. Il a nommé un non-partisane Premier ministre Djuanda Kartawidjaja, tandis que l'armée était dans les mains de son Nasution général loyaliste. Nasution increasingly shared Sukarno’s views on the negative impact of western democracy on Indonesia, et il prévoyait rôle plus important pour les militaires de porter tant besoin de discipline pour le pays.
Comme un geste de réconciliation, Sukarno invited the leaders of the regional councils to Jakarta on 10–14 September 1957, pour assister à une conférence nationale (Musjawarah Nasional), qui n'a pas réussi à apporter une solution à la crise. Sur 30 Novembre 1957, an assassination attempt was made by grenade attack against Sukarno when he was visiting a school function in Cikini, Le centre de Jakarta. Six enfants ont été tués, but Sukarno did not suffer any serious wounds. Les auteurs étaient des membres du groupe extrémiste Darul Islam, sous les ordres de son chef Sekarmadji Kartosuwirjo Maridjan.
En Décembre 1957, Sukarno began to take concrete steps to enforce his authority over the country. Sur ce mois, il nationalisa 246 Les entreprises néerlandaises qui ont été dominants économie indonésienne (notamment le NHM, Royal Dutch Shell Petroleum Maatschappij filiale Bataafsche, Escomptobank, Internatio, Geo Wehry & Co, Jacobson & Montagne, etc) et expulsé 40,000 Les citoyens néerlandais qui restent en Indonésie alors que la confiscation de leurs propriétés, en raison de l'inexécution par le gouvernement néerlandais à poursuivre les négociations sur le sort des Pays-Bas Nouvelle-Guinée a été promis dans le 1949 Table ronde. Sukarno’s economic nationalism policy was followed by issuance Presidential Directive No. 10 de 1959, qui interdit les activités commerciales par des ressortissants étrangers dans les zones rurales. Cette règle visait le d'origine chinoise, qui a dominé l'économie rurale et urbaine de détail en dépit du fait qu'à cette époque, quelques-uns d'entre eux avaient la nationalité indonésienne. Cette politique a conduit à une délocalisation massive de la population rurale d'origine chinoise population vers les zones urbaines, tandis qu'environ 100,000 a choisi de retourner en Chine.
Pour faire face aux commandants dissidents régionaux, Sukarno and Army Chief Nasution decided to take drastic steps following the failure of Musjawarah Nasional. En utilisant les agents régionaux qui sont restés fidèles à Jakarta, Nasution organised a series of “regional coups” which ousted the dissident commanders in North Sumatera (Le colonel Maludin Simbolon) et le Sud de Sumatra (Le colonel Barlian) par Décembre 1957. Cette commande gouvernement est revenu sur les principales villes de Medan et Palembang.
Sur Février 1958, les commandants dissidents restants dans le centre de Sumatra (Le colonel Ahmad Hussein) et le nord de Sulawesi (Le colonel Ventje Sumual) a déclaré PRRI-Permesta Mouvement visant à renverser le gouvernement de Jakarta. Ils ont été rejoints par de nombreux politiciens civils de la Partie Masyumi, comme Sjafruddin Prawiranegara qui étaient opposés à l'influence croissante des communistes. En raison de leur rhétorique anti-communiste, les rebelles ont reçu monétaire, armes, main-d'œuvre et l'aide de la CIA Allen-Laurent jusqu'au pape, un pilote américain, a été abattu après un raid de bombardement sur le gouvernement tiendra Ambon sur Avril 1958. Sur Avril 1958, le gouvernement central a réagi en lançant suspension dans l'air et par mer des invasions militaires sur Padang et Manado, les capitales rebelles. À la fin de 1958, les rebelles ont été militairement vaincu, et les derniers bandes de guérillas rebelles se rendit Août 1961.
‘Guided Democracy’ and increasing autocracy
The impressive military victories over the PRRI-Permesta rebels and the popular nationalisation of Dutch companies left Sukarno in a very strong position. Sur 5 Juillet 1959, Sukarno reinstated the 1945 constitution par décret présidentiel. Il a établi un régime présidentiel qui, selon lui, il serait plus facile à mettre en œuvre les principes de la démocratie guidée. Il a appelé le Manifeste système Politik ou Manipol, mais était en fait le gouvernement par décret. Sukarno envisioned an Indonesian-style socialist society, qui adhèrent au principe de la USDEK:
Constitution de '45 (Constitution de 1945)
Sosialisme Indonésie (Socialisme indonésien)
Demokrasi Terpimpin (Démocratie guidée)
Economie guidée (Economie commandé).
Kepribadian Indonésie (Indonésie identité)
Sur Mars 1960, Sukarno disbanded parliament and replaced it with a new parliament where half the members were appointed by the president (Dewan Perwakilan Rakjat – Gotong Rojong / DPR-GR). Le Septembre 1960, il a établi une Assemblée consultative populaire provisoire (Tandis que les troupes de délibération Madjelis / TPM) comme la plus haute autorité législative conformément à la 1945 constitution. MPRS members consisted of members of DPR-GR and members of “functional groups” appointed by the president.
Avec le soutien de l'armée, Sukarno disbanded the Islamic party Masyumi and Sutan Sjahrir’s party PSI, les accusant d'implication dans PRRI-Permesta affaire. The military arrested and imprisoned many of Sukarno’s political opponents, à partir Sjahrir socialiste islamique Mohammad Natsir politiciens et Hamka. En utilisant les pouvoirs de la loi martiale, the government closed-down newspapers who were critical of Sukarno’s policies.[23]
Pendant cette période,, there were several assassination attempts on Sukarno’s life. Sur 9 Mars 1960, Daniel Maukar, un Indonésien armée de l'air lieutenant qui sympathisaient avec la rébellion Permesta, mitraillé le palais Merdeka et Palais de Bogor avec son avion de chasse MiG-17, tenté de tuer le président; il n'a pas été blessé. Mai 1962, Darul Islam agents ont tiré sur le président au cours de l'Aïd al-Adha prières sur le terrain du palais. Sukarno again escaped injury.
Sur le front de la sécurité, l'armée a lancé une série de campagnes efficaces qui a pris fin le long purulente Darul Islam rébellion dans l'ouest de Java (1962), Aceh (1962), et Sulawesi du Sud (1965). Kartosuwirjo, le leader du Darul Islam, a été capturé et exécuté en Septembre 1962.
Pour contrebalancer le pouvoir de l'armée, Sukarno started to rely on the support of the Communist Party of Indonesia (ICP). En 1960, il a déclaré que son gouvernement se fonder sur Nasakom, une union des trois volets idéologiques présents dans la société indonésienne: nasionalisme (nationalisme), religion (religions), et komunisme (communisme). En conséquence, Sukarno started admitting more communists into his government, tout en développant des liens étroits avec l'ICP président Dipa Aidit Nusantara.
Afin d'accroître le prestige de l'Indonésie, Sukarno supported and won the bid for the 1962 Jeux asiatiques qui s'est tenue à Jakarta. De nombreuses installations sportives telles que le complexe sportif de Senayan (dont le stade de 100.000 siège Bung Karno) ont été construits pour accueillir les jeux. Il y avait des tensions politiques lorsque les Indonésiens ont refusé l'entrée des délégations d'Israël et Taiwan. Après le Comité international olympique imposer des sanctions à l'Indonésie en raison de cette politique d'exclusion, Sukarno retaliated by organising a “non-imperialist” competitor event to the Olympic Games, Jeux appelé de nouvelles forces émergentes (Événement, La Ganefo). GANEFO a été tenue avec succès à Jakarta le Novembre 1963, et a été suivie par 2,700 athlètes de 51 pays.
Dans le cadre de son prestige programme de renforcement des, Sukarno ordered the construction of large monumental buildings such as National Monument (National Monument), Mosquée Istiqlal, CONEFO bâtiment (maintenant l'hôtel du Parlement), Hôtel Indonésie, et le centre commercial Sarinah de transformer Jakarta à partir d'un marigot ancienne puissance coloniale à une ville moderne. Les boulevards modernes Jakarta Jalan Thamrin de, Jalan Sudirman, and Jalan Gatot Subroto was planned and constructed under Sukarno.
Politique extérieure
As Sukarno’s domestic grip on power was secured, il a commencé à accorder plus d'attention sur la scène mondiale, where Sukarno embarked on a series of aggressive and assertive policies based on anti-imperialism to increase Indonesia’s prestige internationally. Ces politiques anti-impérialistes et anti-occidentale, souvent à la limite sur la corde raide, ont également été conçus pour fournir une cause commune d'unir le peuple divers et hargneux indonésiens. Dans ce, il fut aidé par son ministre des Affaires étrangères Subandrio.
Depuis sa première visite à Pékin en 1956, Sukarno has began in the 1950s to increase his ties to the People’s Republic of China and the communist bloc in general. Il a également commencé à accepter des quantités croissantes de l'aide du bloc militaire soviétique. En début des années 1960, Bloc soviétique a fourni plus d'aide à l'Indonésie que de tout autre pays non communiste, tandis que l'aide soviétique militaire à l'Indonésie n'avait d'égale que l'aide fournie à Cuba. Cet afflux massif de l'aide communiste provoqué une augmentation de l'aide militaire de la part Dwight Eisenhower et John F. Kennedy administrations, which worried about a leftward drift should Sukarno rely too much on Soviet bloc aid.[24]
Sukarno was feted during his visit to United States in 1956, où il a adressé une session conjointe du Congrès américain. Peu de temps après sa première visite aux Etats-Unis, Sukarno visited Soviet Union, où il a reçu encore plus somptueux bienvenue à Moscou. Le Premier ministre soviétique Nikita Khrouchtchev a effectué une visite de retour à Jakarta et à Bali en 1960, where Khrushchev awarded Sukarno with the Lenin Peace Prize. Pour faire amende honorable pour l'implication de la CIA dans la rébellion PRRI-Permesta, President Kennedy invited Sukarno to Washington, and provided Indonesia with billions of dollars in civilian and military aid.[24]
En dépit de ses relations étroites avec les blocs à la fois occidental et communiste, Sukarno increasingly attempted to forge a new alliance called the “New Emerging Forces”, en contradiction avec les superpuissances anciens, whom he accused of spreading “Neo-Colonialism and Imperialism” (NEKOLIM). In 1961, ce premier président de l'Indonésie a également trouvé une autre alliance politique, une organisation, appelé le Mouvement des pays non-alignés (NAM, en Indonésie connu sous le nom Gerakan non-Blok, GNB) avec le président égyptien Gamal Abdel Nasser, Le Premier ministre indien Pandit Jawaharlal Nehru, Président de la Yougoslavie Josip Broz Tito, et président du Ghana, Kwame Nkrumah, dans une action appelée l'initiative de cinq (Sukarno, Nkrumah, Nasser, Tito, et Nehru). Cette action a été un mouvement de ne donner aucune faveur aux deux blocs superpuissance, qui ont participé à la guerre froide. Sukarno is still fondly remembered for his role in promoting the influence of newly-independent countries; entre autres, son nom est utilisé comme noms de rues du Caire, L'Egypte et Rabat, Maroc, et comme une grande place à Peshawar, Pakistan. In 1956, l'Université de Belgrade lui a décerné un doctorat honorifique.
Comme les pays du MNA ont été de plus en divisés en factions différentes, and as fewer countries were willing to support Sukarno’s growing aggressive anti-Western foreign policies, il de plus en plus ont commencé à abandonner son non-alignement rhétorique, en échange d'une nouvelle alliance avec la Chine, Corée du Nord, Nord-Vietnam, et le Cambodge, an alliance he called the “Beijing-Pyongyang-Hanoi-Phnom Penh-Jakarta Axis”. After withdrawing Indonesia from the “imperialist-dominated” United Nations on January 1965, Sukarno sought to establish a competitor organisation to the UN called Conference of New Emerging Forces (CONEFO) avec le soutien de la Chine, qui à cette époque n'était pas encore un membre des Nations Unies.
Sukarno began an aggressive foreign policy to secure Indonesian territorial claims. Sur Août 1960, Sukarno broke-off diplomatic relations with the Netherlands over continuing failure to commence talks on the future of Netherlands New Guinea, comme cela a été convenu lors de la Conférence hollandaise-indonésienne Table ronde des 1949. Après les Pays-Bas ont annoncé la formation d'une Raad Nieuw Guinée sur Avril 1961, avec l'intention de créer un Etat indépendant de Papouasie, Sukarno declared military confrontation in his Tri Komando Rakjat (Trikora) la parole à Yogyakarta, sur 19 Décembre 1961. Il a organisé des incursions militaires dans la demi-île, qu'il dénommée Irian occidental, qui en fin de 1962 a atterri autour de 3,000 Soldats indonésiens tout au long de l'Irian occidental. Le Janvier 1962, une bataille navale a éclaté quand une flotte indonésienne de l'infiltration quatre torpilleurs ont été interceptés par des navires hollandais et des avions au large de la côte de Vlakke Hoek. Dans cette bataille,, un bateau indonésien a été coulé, tuant le chef adjoint de la Marine d'état-major Jos Commodore Sudarso. Sur Février 1962, l'administration Kennedy, inquiets d'une évolution continue vers le communisme indonésien devrait néerlandais détenus à la Papouasie occidentale, envoyé procureur général Robert Kennedy à Pays-Bas, de souligner que les États-Unis ne soutiendront pas Pays-Bas en cas de conflit avec l'Indonésie. Avec massives d'armements soviétiques et même l'aide la main-d'œuvre, Sukarno planned a large-scale air and seaborne invasion on the Dutch military headquarters of Biak scheduled for August 1962, Appelé Operasi Djajawidjaja, qui sera dirigé par le major-général Suharto. Avant ces plans à haut risque peut être réalisé, Indonésie et Pays-Bas ont signé l'Accord de New York sur Août 1962. Les deux pays ont convenu de mettre en œuvre le Plan d'Bunker (formulée par le diplomate américain Ellsworth Bunker), laquelle le néerlandais a accepté de remise en Papouasie occidentale à l'AETNU sur 1 Octobre 1962. AETNU remis le territoire indonésien autorité mai 1963.
Après avoir obtenu le contrôle de l'Irian occidental, Sukarno also opposed the British-supported establishment of Federation of Malaysia in 1963, affirmant qu'il s'agissait d'un complot néo-coloniale par les Britanniques pour assiéger l'Indonésie. En dépit de ses démarches politiques, which was partly justified when some leftist political elements in British Borneo territories Sarawak and Brunei opposed the Federation plan and aligned themselves with Sukarno, La Malaisie a été proclamée en Septembre 1963. Cela a conduit à la confrontation Indonésie-Malaisie (Affrontement), proclaimed by Sukarno in his Dwi Komando Rakjat (Dwikora) discours à Jakarta 3 Mai 1964. Sukarno’s proclaimed objective was not to annex Sabah and Sarawak into Indonesia, mais d'établir un Etat du Nord Kalimantan sous le contrôle du Nord Kalimantan Parti communiste. À partir de 1964 jusqu'au début 1966, nombre limité de soldats indonésiens, “volunteers”, et malaisiennes guérillas communistes ont été infiltrés en tant nord de Bornéo et la péninsule malaise, où ils se sont engagés dans la guerre de jungle avec des soldats britanniques et du Commonwealth déployés pour protéger la naissante Malaisie. Agents indonésiens ont également explosé plusieurs bombes à Singapour. Sur le plan intérieur, Sukarno whipped up anti-British sentiment and the British Embassy was burned down. En 1964, toutes les entreprises britanniques opérant dans le pays, y compris les opérations indonésiennes de la Chartered Bank et Unilever, ont été nationalisées.
Par 1964, Sukarno commenced an anti-American campaign due to his growing shift towards the communist bloc, et moins convivial administration Lyndon Johnson. Les intérêts américains et les entreprises en Indonésie a dénoncé et même attaqué par ICP-dirigées par des foules. Films américains ont été interdits, Livres et registres américains des Beatles ont été brûlés, et indonésien bande Koes Plus a été emprisonné pour jouer à l'américaine rock and roll music. À la suite, L'aide américaine à l'Indonésie a été interrompue, to which Sukarno made his famous remark, “Go to hell with your aid”. Sukarno withdrew Indonesia from the United Nations membership on 7 Janvier 1965 quand, avec le soutien américain, La Malaisie a pris un siège du Conseil de Sécurité. A cette époque,, Sukarno’s brinkmanship policies left him with few international allies. Avec le gouvernement a déjà lourdement endetté à hauteur de US $ 1 de dollars à l'Union soviétique, Sukarno became increasingly dependent to Communist China for support. Il parlait de plus en plus d'un axe Pékin-Jakarta, qui sera le noyau d'une organisation mondiale anti-impérialiste nouvelle, l'CONEFO.